- Titre de la pièce : » Assabirat ( Les Patientes ) «
- Script : Fawzi Snoussi , Khadija Bakoush,Houssem Ghreb
- Réalisation : Hammadi Ouheibi
- Directeur de production : Zied Ghnaniya
- Réalisateur adjoint : Amal Rafraf
- Acteurs: Khadija Bakoush , Mariem Ben Hssan , Ishraf Tamoumi , Rabaa Jlali , Houssem Ghrebi
- Langue: Arabe courant(Tunisien)
- Scénographie: Mounir Smii
- Habillage : Rachida Liwan
- Technicien éclairage: Ali Sbouii , Abd Kader Hermasi , Hamda Ghabi
- Cariographie: Sami Khadhrawi
- Musique: Mohammed Anis Lajmi
- Audio: Mohammed Ben Amor
- Décore: Sadek Guizani
- Adjoint média: Mohammed Almi
- Durée :75 minutes

La pièce « Patientes » “les braves femmes ” ( saberates) n’est pas une pièce qui ne saurait défendre les maison closes mais elle appuie l’idée de s’insurger contre la manière violente pour régler la question sans pour autant la traiter depuis les origines et d’une manière profonde.
Il s’agit de certaines filles de joie qui se trouvent à la rue suite à l’invasion d’un groupe de salafiste chez elles et les contraignent à la fermeture de force. Les jeunes femmes se rassemblent dans une grande place commune appelée place du général qui semble être selon le bruit qui court le cimetière des juifs à l’ouest de la ville pour se laisser entrainer vers leur sort après avoir quitté leur local initial, celui de Aziza la propriétaire. Elles lui avaient confié leur argent et autres choses de valeur…
Les jeunes filles se mettaient d’accord sur le fait d’avoir recours à khamis le fils d’Aziza, celui qui connait surtout le chemin du retour ; puisque la situation sécuritaire n’est pas stable dans mesue où les évènements se passent après le 14 jenvier 2011…
Elles s’accordent avec khamis qui cherche à amadouer l’une d’elles ( Rabeb) et la convaincre de voyager vers les pays du golf. Mais ce stratagème sera dévoilé par Saida et zahira ; khamis leur tint compagnie dans le chemin de retour dans les ruelles de la Médina et l’on découvrit soudainement tant de vérités cachées de ces fillettes.
Aziza apparait dans la place et les jeunes filles décidèrent de continuer ce vieux métier mais loin de leur local et directement dans la rue loin de tout contrôle.
Il s’agit d’une lecture de la manière que les extrémistes usent avec ces phénomènes sociaux, dans la mesure où le renouveau ne peut s’effectuer que par la sagesse et le dialogue et nullement par la violence qui converge vers le pire.